Le secrétaire général de L’Union Tunisienne de l’Agriculture et de la Pêche a annoncé que 1800 hectares d’oliveraies ont été pillés. Il a assuré que les agriculteurs continuent à faire face à des pressions de la part de ceux qu’il considère comme des “hors la loi”.
Les agriculteurs ont lancé un cri de détresse et ont appelé le ministère de l’agriculture, le ministère de l’intérieur, le ministère de la défense nationale et le ministère de la justice à prendre leurs responsabilités et à protéger les récoltes des pillages.
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