Il s'agit, selon le document de cette stratégie, élaborée par le Centre du Commerce International de faire de cette activité, un secteur "reconnu à l'échelle nationale" et favoriser son rayonnement à l'échelle international grâce au développement des capacités du secteur ses » en Afrique Subsaharienne et à la promotion de l'offre tunisienne en Europe, en Afrique du nord et dans les pays arabes.

La stratégie décrit notamment les objectifs clés à atteindre durant la prochaine période, les initiatives stratégiques à entreprendre ainsi que les besoins en ressources dans ce domaine. Le déploiement de cette stratégie sur 3 ans, nécessite un budget d'environ 13 milliards de dinars.

Il s'agit, particulièrement de développer les capacités du secteur « conseils aux entreprises » en Afrique Subsaharienne et de promouvoir l'offre tunisienne en la matière en Europe, en Afrique du nord et dans les pays arabes.

Selon l'étude, malgré la croissance des exportations du secteur, la branche, qui s'est développé dans les années 1990, grâce au programme de mise à niveau, "n'arrive pas à s'illustrer à l'international".

Cette activité revêt une importance particulière pour l'économie tunisienne, compte tenu qu'il s'agit d'un secteur à haute valeur ajoutée qui contribue à améliorer la qualité des prestations présentées par les autres secteurs.