L’activité de l’UIB se traduit, à nouveau, par une croissance des produits d’exploitation bancaire qui, présentés nets des agios réservés, s’établissent à fin septembre 2013 à 204,5 MTND, en progression de 16,5% par rapport au 30 septembre 2012.

Le Produit Net Bancaire, en progression de 13,5% par rapport au troisième trimestre 2012, s’établit, quant à lui, à 136 MTND.

Par ailleurs, les charges opératoires décroissent de 1,09% par rapport au troisième trimestre 2012, sous l’effet des différents leviers d’optimisation mis en œuvre au sein de la Banque.
Ces évolutions ont permis à l’UIB de dégager un résultat brut d’exploitation de 68,7 MTND en hausse de 31,3% par rapport au troisième trimestre 2012.

Les résultats de l’UIB ne sont pas, sans lien, avec la spécificité de son modèle de banque dite « universelle », outre le fait que l’UIB a réduit le poids relatif de ses créances accrochées et évité les prises de risque inconsidérées.
L’Union Internationale de Banques retrouve, aujourd’hui, le chemin d’une croissance saine qui la fait figurer parmi les banques les plus résilientes du secteur. Son plan de transformation structurelle, initié depuis 2008, lui permet d’envisager l’avenir avec assurance et sérénité. Les indicateurs attendus au 4ème trimestre 2013 devraient confirmer la tendance de fond observée depuis le début de l’exercice.